Formulaire de présentation

Votre histoire :
(en une dizaine de lignes minimum)

Ici.

Votre apparence :
(en quelques lignes)

Ici.

Tout ce qu'il faut savoir sur vous :
(en cinq lignes minimum)

Ici.



♣ Vous ♣

Votre histoire :
(en une dizaine de lignes minimum)

Je suis née à Faïrel, dans un petit village, et, évidemment, j'avais toute les chances de survivre qu'un bébé pouvait avoir... C'est ironique, bien sûr. Mon père ? Mort. Ma mère ? Gravement malade. Pas de frères et soeurs. Un autre membre de ma famille ? Tous morts. Un ami, quelqu'un ? Ma mère m'a mise au monde dans la forêt, alors qu'elle allait faire son métier - mage des plantes. Elle devait être franchement imprudente. Mais, par miracle, je m'en suis sortie ; elle, en revanche, non. J'étais condamnée à mourir de froid, ou de faim, ou tuée par un animal sauvage, s'il n'y avait pas eu Saba. Saba... Une gentille, douce et délicate... Tueuse. Un monstre assoiffé de sang, incontrôlable, rempli de sadisme et de démence. C'est la fille cadette de la reine, elle se fait passer pour un petit ange de lidwa, mais seule moi et ses vicitimes savons qui elle est réellement. Elle avait seulement onze ans quand elle m'a trouvé, et par un miracle dont je n'ai jamais pu percer le secret, a décidé de me garder en vie. Au lieu de m'amener dans la cité, où elle vivait, elle me laissa cloîtrée dans une grotte souterraine, avec une pile de fruits comestibles à côté de moi. Elle est partie pour revenir quelques minutes plus tard, avec dans la main la peau d'une bête poilue et sanguinolente. Si j'avais été plus grande, j'aurais été effrayée ; couverte de sang, un sourire sadique et rêveur sur le visage, elle s'était approchée de moi, lentement à cause de la lourde peau. Puis elle avait secoué la tête comme pour se sortir d'un rêve, et m'avait étendu la "couverture" dessus. Plus tard, je compris qu'elle arborait cette expression chaque fois qu'elle faisait souffrir ou tuait un être vivant, mais pour le moment, toutes mes pensées était tournées vers le retour inopiné de la chaleur. Curieusement, cette étape de ma vie est restée gravée dans ma mémoire, ce qui n'aurait pas dû être possible... Tout le reste, jusqu'à mes cinq ans, était très flou. Je savais qu'elle essayait

Votre physique :
(en quelques lignes)

Je suis mélanique, petite pour mon âge mais très vive. Mes crocs sont redoutablement aiguisés, tout comme mes griffes, et ma voix est coupante.

Tout ce qu'il faut savoir sur vous :
(en cinq lignes minimum)

J'ai l'âme d'une guerrière, c'est certain. Ou plutôt, d'une tueuse ! Je n'hésite jamais à ôter la vie de qui que ce soit. On me reproche d'être trop pressée, trop exigeante, pas assez tolérante. Assez sanguinaire, j'aime faire trembler les autres devant moi, semer la pagaille et chercher les embrouilles. Je réussis ça très bien ! Je ne compte plus les fois où j'ai failli y passer. Chose très particulière, je vénère autant Gaëa que Deysha. Après tout, pourquoi la déesse de la nature ne pourrait pas être alliée avec le dieu de la puissance et du pouvoir ? La nature nous domine, et non l'inverse. Je méprise les ilcara et leurs grandes ailes. Certes, ils sont doués à la guerre, mais, selon moi, ils se font des grands airs avec leur capacité de voler, et ils se croient les plus forts. J'aime par dessus tout les remettre à leur place... Attachés à un poteau, les ailes arrachées, une dague dans le ventre, et seuls. Mon rêve est de les détruire, tous, jusqu'au dernier. Quand ce ne sont pas les ennuis, je cherche les garçons. C'est mon deuxième rêve, que je ne révèlerai jamais à personne - cela nuirait à ma réputation : être en couple. Avoir des enfants... Dissimulé sous mon sadisme et ma cruauté, mon instinct maternel est très puissant, et je ne parviens jamais à tuer un bébé de ma race. Orpheline, ayant refusé le pensionnat, je gagne ma vie en volant. Je suis très douée pour ça ; mon pelage noir comme jais est un atout formidable, ma nature d'ektaè en est un autre encore ; nous sommes la race la plus furtive des cinq. Même les autres voleurs ne me soupçonnent pas d'en être une, alors que moi, je les repère tous. Mais, car on ne peut pas tout avoir, je suis définitivement un boulet quand il s'agit de manier autre chose qu'une dague ou une arbalète. Et sans armes, je suis une bien piètre combattante... Je désespère continuellement le maître d'armes, qui est censé nous apprendre à nous battre du mieux qu'il peut. Très vive d'esprit, je fais en revanche le bonheur de mes autres professeurs, bien que leurs cours m'ennuient à mourir. Pour les apprentis guerriers, l'école est une option à partir de 13 ans, mais les gens se méfient moins de moi ainsi. De plus, je glane de précieuses informations, et je mange à ma faim grâce à la cantine - à Faïrel, de toute façon, il est dur de ne pas trouver à manger ; le territoire est rempli d'arbres aux fruits comestibles, et j'habite même dans l'un d'entre eux, car je n'ai pas assez d'argent pour m'acheter une maison. Mon arbre est dans un parc de Nes' Merês, dont l'accès est "défendu" par des barrières de bois.



♣ Vous ♣